jeudi 13 décembre 2012

Gamme de stylos écolo et durables

Les qualités environnementales d'un produit figurent parmi les critères de choix des acheteurs.
C'est pour cela que Pentel a lancé une gamme de stylos écologiques regroupée sous la bannière Recology. Derrière ce nom, des produits comportant plus de 50 % de matériaux recyclés dans leur fabrication. Dès la conception de ce produit, Pentel est resté fidèle à ses principes environnementaux en fabriquant un stylo rechargeable, de longue durée, sans solvants nocifs et conçu à partir de 84 % de matériaux recyclés.

Pour savoir écrire de toutes les couleurs sans abîmer celles de notre environnement...



Piscines bio


Si vous rêvez d’une piscine chez vous, que vous en avez l'envie, les moyens et le terrain, peut-être que le rejet de produits chimiques dans la nature et les yeux qui piquent vous repoussent depuis des années. Il existe  une alternative respectueuse de l’environnement et originale : la piscine bio. Les plantes aquatiques y remplacent le chlore !

Pour permettre la «baignade naturelle», la piscine bio met en œuvre un procédé ingénieux. Deux bassins composent la retenue d’eau : le premier est destiné à la nage, et le second… à la culture de plantes aquatiques qui filtrent les impuretés et endiguent la prolifération des algues. C’est la technique dite du lagunage. Au milieu, un système hydraulique fait circuler l’eau.


Les plantes en question sont choisies pour leurs vertus épuratives : l’iris, la menthe, la queue de renard, les sagittaires ou les jacinthes d’eau. De cette façon, nul besoin de chlore ou autres produits chimiques, donc aucun impact environnemental. Et une façon plutôt sympathique d’embellir votre jardin !

En revanche, l’installation d’une piscine bio est plus chère que celle d’un bassin traditionnelle. Ici, le m2 coûte entre 600 et 800 euros. Et l’entretien est plus contraignant : contrôle des algues, nettoyage, suivi des plantations… Côté travaux, il faudra compter trois mois avant de réaliser la culture et la mise en eau, le temps d’effectuer le terrassement, l’étanchéité, ou encore la pose de la pompe. Ensuite, il sera possible de recourir à un système d’ultraviolets pendant un an ou deux afin de donner un coup de pouce à l’écosystème.



VW pète le feu




La VW New Beetle carbure... aux excréments !

L'entreprise anglaise GENeco a utilisé les déchets venant de 70 foyers de Bristol afin de constituer un carburant d'un type bien nouveau.

Afin d'alimenter une VW New Beetle, GENeco a utilisé du biogaz provenant de matières fécales, qui est une énergie alternative.
Oubliez les diesels, essence, biocarburants, l'hybride, l'hydrogène, l'électrique. Volkswagen New Beetle peut rouler grâce à vos matières fécales. De façon indirecte, puisque c'est le biogaz produit, ou le méthane puis GNV (Gaz naturel de Véhicule), qui est la source d'énergie de la VW New Beetle Bio-Bug. 

70 foyers seraient nécessaires pour faire fonctionner un véhicule durant une année, à raison de 16.000 kilomètres parcourus. En résumé, 1 mètre cube serait utile pour rouler 8,5 km. La ville de Bristol fut le lieu de l'expérience, via le site de production d'Avonmouth.

L'utilisation de cette procédure est déjà opérationnelle, reste à l'étendre. Les véhicules fonctionnant au GNV sont eux aussi déjà construits depuis des années et ne nécessitent pas le développement de nouvelles technologies. Enfin le coût de carbone est limité seulement aux émissions du véhicule (inférieures de 25% aux moteurs essence), la production étant propre, et la source considérée comme énergie renouvelable. Et les déchets ménagers seraient potentiellement utilisables à l'avenir selon GENeco...