mercredi 27 février 2013

Couleurs Puma



Puma se lance dans le biodégradable et le recyclable :
Ils l’ont enfin fait ! ! La marque de Sportswear Puma se lance dans une collection totalement biodégradable et complètement recyclable pour l'été printemps 2013 : InCycle.
Que se soit des vêtements, des chaussures ou des accessoires pour le printemps et l’été 2013, le but de Puma est de réduire le gaspillage, ainsi que l’empreinte écologique des consommateurs.



C’est donc sans grande peine que cette collection a obtenu la précieuse certification «Cradle to Cradle CertifieldCM Basic». Cette certification marque une étape importante dans l’investissement de Puma pour devenir l’équipementier sportif le plus écologique qui soit.
Reiner Hengstmann, directeur mondial de Puma Safe, dit : « Les chaussures et le T-shirt de basket biodégradables InCycle ont été analysés dans le cadre du premier bilan de Puma sur les produits environnementaux, publié en octobre 2012. Les résultats sont éloquents et démontrent que l’impact environnemental de ces deux produits a été réduit d’un tiers par rapport à leurs homologues traditionnels ».
Pour aboutir à une telle collection, le géant de sport s’est associé à l’EPEA, afin de répondre aux critères définis par le Cradle to Cradle Products Innovation Institute. Le programme mis en place comporte à cet effet une évaluation des produits selon quatre critères respectifs :

- l’utilisation de matériaux biodégradables, sûrs et non toxiques
- la conception en vue de réutiliser les matériaux, notamment recyclage et compostage
- l’énergie renouvelable et la gestion du bilan-carbone
- la gestion rationnelle de l’eau et la responsabilité sociétale.

Cette collection « Responsable » dont Puma peut être plus que fier, sera disponible en magasin et sur le site dès le mois de mars 2013. 
C’est le moment où jamais de consommer en toute bonne conscience... et de marcher le coeur léger.

mardi 12 février 2013

Bonne mère, mais c'est bio !

L'Occitane l'a présentée pendant le dernier Luxe Pack de Monaco en octobre dernier : la gamme Bonne Mère est inspirée par un hommage à la Bonne Mère, figure protectrice et emblématique de Marseille dont l'esprit bienveillant habitent les savons de la marque depuis plus de 20 ans. Qui dit Bonne Mère, dit Marseille et qui dit Marseille, dit savon, la boucle est bouclée !

Cette gamme de produits de soin se veut basique, essentielle, pure et fonctionnelle. Avec ce retour aux sources, aux produits de toujours, riches en huile de palme durable et respectueuse, parfumés de miel, les savons de l'Occitane revendiquent une démarche globale éco-consciente. Jusqu'à sélectionner tous ses fournisseurs, tout au long de la chaîne d'approvisionnement, en fonction de leurs vertus. Ainsi l'huile de palme est-elle achetée auprès de producteurs certifiés RSPO, une association à but non lucratif, réunissant tous les acteurs de la filière (planteurs, transformateurs, industriels, banques, ONG) afin de développer et d’instituer des critères mondiaux pour la production d’huile de palme durable.

A l'autre bout de la chaîne, l'emballage a également été choisi pour sa dimension presque totalement verte, un plastique recyclable et fabriqué avec au moins 95% de plastique d'origine végétale.
Les flacons en polyéthylène vert d'origine végétale sont fournis par une société brésilienne qui fabrique ce plastique à partir de composés de la canne à sucre. La ligne «Bonne Mère» marque une nouvelle étape dans la politique de respect de l’environnement de l'Occitane. On peut seulement regretter que la démarche ne soit pas complètement bio, la gamme Biobatch d'IQAP et A3DC offrant, elle, un plastique 100% naturel, sans concession et sans demi-mesure...
 

Emballages Magazine


Pour leur démarche de plastique végétal 100% naturel, recyclable, non polluant et inerte pour l'environnement, BioBatch d'OQAP et d'A3DC ont retenu l'intérêt de la presse professionnelle, avec une pleine page dans Emballages Magazine. A lire en ligne...

Marqueur bio


Des têtards sont désormais réquisitionnés pour tester la qualité de l'eau rejetée par les hôpitaux.Trop de médicaments dans l'eau ? Le têtard devient fluo. Des larves de batraciens intégrant un marqueur génétique seront utilisées à partir de 2013 pour surveiller les rejets liquides du Centre Hospitalier sud francilien (CHSF), dans l'Essonne.

La veille des grenouilles
Le procédé, mis au point par la société Watchfrog, installée non loin du CHSF sur le bioparc du Genopole, vient de remporter un appel à projet du ministère du redressement productif pour développer des stations de surveillance des effluents hospitaliers.
Petits, transparents, pas si éloignés de l'homme, les têtards sont de bons indicateurs de pollution. A condition de leur ajouter un gène qui les rend fluorescents en présence de certains polluants.

Action à faibles doses
"Les têtards deviennent fluorescents quand des polluants ont un impact sur leur physiologie", explique Anne Ferandet, directrice adjointe de Watchfrog, qui précise que la société dispose de différents types de têtards, aux réactions différentes selon le type de polluant. "Certains ne réagissent qu'aux polluants impactant les hormones thyroïdiennes, d'autres aux polluants impactant la reproduction ou le développement du cerveau", ajoute-t-elle.
Les établissement hospitaliers français génèrent environ 10 % des résidus médicamentaux retrouvés dans les eaux de surface. Issus de nombreux traitements, ces résidus ne sont pas totalement éliminés dans les stations d'épuration et se retrouvent en partie en milieu naturel. Les principes actifs de nombreux médicaments peuvent ainsi agir à de faibles doses sur la reproduction, le développement du cerveau ou le métabolisme.

Station mobile de surveillance
Le CHSF a pour particularité de rejeter de manière séparée les eaux usées issues de ses différents types d'activité – laboratoires, radiologie, morgue... "Nous prélèverons en continu un échantillon d'effluents de l'hôpital pour quantifier le risque que représentent les résidus médicamenteux pour l'environnement et la santé des écosystèmesLes eaux font l'objet d'un prétraitement avant d' arriver dans la station d'épuration. Nos tests permettront de vérifier la qualité de ces traitements et d'améliorer ceux qui doivent l'être", avance Anne Ferandet.
L'objectif de Watchfrog est de développer, pour la commercialiser, une station mobile de surveillance des eaux utilisant ces têtards fluorescents. 

En attendant, cette technique déjà utilisée pour tester l'efficacité d'une station d'épuration dans le sud de Paris sera mise en œuvre pour analyser les effluents dans les bassins de décantation du Centre Hospitalier sud francilien.

lundi 11 février 2013

Electroménager à recycler


Trendyliss permet aujourd’hui de proposer une solution à la fois économique et écologique.


Trendyliss propose en effet de prendre en charge le recyclage de votre fer à lisser (ou de votre sèche-cheveux) toutes marques confondues, par le biais d’Hair-Professionnel, et vous offre une réduction de 15€ sur un lisseur de la gamme Premium (ou un sèche-cheveux Trendyliss). Pour profiter de cette offre, il vous faut retourner votre fer à lisser aux frais de Trendyliss.
Il suffit de contacter le service client par mail (avec votre nom, prénom et adresse complète) à serviceclient@hair-professionnel.com ou par téléphone au 04 73 545 030 pour leur demander une étiquette Colissimo France
Ils envoient un mail contenant l'étiquette Colissimo. Il vous faut ensuite imprimer l'étiquette, placer votre appareil dans un carton, coller l'étiquette sur le carton fermé et l'expédier.

Lorsque le lisseur ou le sèche-cheveux est bien réceptionné, Trendyliss s'occupe du recyclage  et vous adresse un chèque promo par mail, qui vous permettra de vous offrir un fer à lisser ou sèche-cheveux Trendyliss de votre choix et à petit prix.

Prenons soin de notre planète, tout en préservant la beauté de nos cheveux !